A la belle Escalade !

Jeudi 8 décembre, la salle des Peupliers, consacrée principalement à la tenue de cours divers et variés, a été transformée en un espace festif dans le but de célébrer l’Escalade.
Une cinquantaine de participants se sont retrouvés autour de tables décorées de bûches, bougies et nappées d’un rouge rutilant.
Tout d’abord Jean-Claude Mingard a décortiqué avec toute la rigueur de l’historien l’épopée de l’Escalade vue par le Duc de Savoie, un Commandant espagnol des troupes ennemies et un Genevois.
Après cet exposé très bien documenté, est venu l’heure du traditionnel bris de la marmite avec la dégustation des massepains, chocolat et autres délices biscuitées. Les participants ont ensuite  eu le privilège de savourer le véritable «Glögg» préparé par Marja et Claus.

 


 
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Visite de la Synagogue

Véritable bijou architectural, classé monument historique en 1989, la  Grande Synagogue de Genève a intérieurement un petit air mauresque.
Un rabbin a retracé l’histoire de cet édifice, les traditions et les principaux rites de la communauté juive. Une véritable découverte pour la majorité des participants.
Un somptueux goûter a été servi en musique dans les «dessous» de ce bâtiment trop souvent méconnu des Genevois qui ont peu l’occasion de franchir la belle grille d’entrée.

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Qui a peur de l’iPad ?

Notre Monsieur informatique, Franck Vasseur, nous a démontré ce véritable fait de société qu’est l’iPad. Ni iPhone, ni ordinateur, cette tablette tactile recèle énormément d’applications. Son utilisation est facile, voire ludique. Elle permet aussi de lire des livres, des magazines et des journaux et d’effectuer des échanges avec la famille et les amis.

Démonstration à l’appui, Franck Vasseur a prouvé la facilité d’emploi et les qualités de cette nouvelle technologie.

Cette tablette connaîtra certainement encore des perfectionnements que notre informaticien-maison viendra nous présenter, ce qui complètera cette première prise de contact.

Bouger ! C’est la santé

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«Rester mobile et autonome (à tout âge)», c’est le message que nous a apporté le docteur François Loew.
La mobilité, (première cause de handicap chez les Seniors) a le grand avantage de nous permettre de continuer à vivre indépendant à domicile.
Le 50% des personnes de plus de 75 ans souffre de faiblesse musculaire, d’arthrose, de douleurs, de problèmes neurologiques, de troubles de l’équilibre et de la marche d’où le risque de chutes et de fractures. De ce fait, le risque d’entrer en EMS est trois fois plus grand.
Le comportement n’est pas toujours adapté. La sédentarité, l’alimentation insuffisante, les médicaments inadéquats ou en excès, ainsi que les abus d’alcool sont des facteurs de risque. A un certain âge, il faudrait aussi être prudent dans les escaliers, sur des échelles ou un escabeau. Il ne faut pas hésiter à utiliser une canne, un déambulateur ou un fauteuil roulant et mettre des chaussures convenables.
Par un petit tour d’horizon personnel, chacun peut savoir s’il est concerné et remédier à cet état de choses, éventuellement, avec l’aide d’un professionnel.
Mais à tout âge, on peut augmenter sa mobilité et améliorer sa condition physique. Par exemple, en ayant une alimentation équilibrée et en faisant 30 minutes d’activité par jour.
On peut également sécuriser son domicile par des mesures simples: rampe d’appui, tapis fixés, bon éclairage, tapis et poignée dans la baignoire.
En définitive, trois axes se dégagent prioritairement

  • Améliorer l’équilibre, la force et la démarche, en plus d’apports nutritionnels suffisants.
  • Diminuer les dangers de l’environnement.
  • Diminuer le nombre de médicaments et réduire les psychotropes (en parler à son médecin).

Basilique dans tous ses états

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La Basilique Notre-Dame est un édifice religieux majeur de Genève. François Capt, dessinateur architecte et acteur de sa dernière restauration, nous a retracé les principales étapes de l’Histoire de cet imposant bâtiment, érigé sur un terrain donné par l’Etat de Genève à l’église de Genève.
La basilique, construite sur les anciennes fortifications, a été réalisée grâce à la participation de dizaines de catholiques venant de quasiment toutes les communes du canton.
Terminée en 1871, elle est consacrée le 8 septembre 1859. L’abbé Gustave Mermillod en deviendra le curé, puis le recteur.
Les outrages du temps ne l’ayant pas épargnée, la basilique a dû être restaurée. C’est à cette époque, 1978-1983, que François Capt, passionné de pierres anciennes, a joué un rôle primordial. En effet, qui mieux que lui pouvait redonner à la vieille dame son lustre d’antan sans altérer l’architecture d’origine.
Pour s’imprégner de l’atmosphère des lieux et en goûter les nombreuses oeuvres artistiques, rien ne vaut une visite. Visite assistée par une brochure explicative disponible à l’entrée.
Lors de votre passage, vous remarquerez peut-être des religieuses recueillies devant une des chapelles. En effet, il faut savoir que la Basilique Notre-Dame est considérée comme un lieu de pèlerinage à la Vierge Marie, fréquentée par de nombreux fidèles à la recherche de paix et de silence.

Par ici les belles plantes

serres thonexA Thônex, les massifs fleuris, les giratoires végétalisés et les bacs garnis se trouvent à foison sur toute la commune.
Toutes ces plantations demandent des soins continus et c’est une équipe de huit professionnels, épaulés par des apprentis, qui travaillent à rendre les espaces verts pimpants et colorés.
Menés par Patrick Audemars, les jardiniers nous ont fait visiter leurs cultures et leurs serres. Ce sont quelques 12.000 plantes qui poussent et qui seront ensuite déplacées pour garnir l’espace public.
En graines ou en plantons, les fleurs requièrent des attentions journalières. Le chef-jardinier nous explique qu’il faut suivre sans arrêt leur développement. D’abord pour s’assurer qu’elles sont correctement humidifiées, puis en les traitant juste ce qu’il faut si des A Thônex, les massifs fleuris, les giratoires végétalisés et les bacs garnis se trouvent à foison sur toute la commune.

Toutes ces plantations demandent des soins continus et c’est une équipe de huit professionnels, épaulés par des apprentis, qui travaillent à rendre les espaces verts pimpants et colorés.
Menés par Patrick Audemars, les jardiniers nous ont fait visiter leurs cultures et leurs serres. Ce sont quelques 12.000 plantes qui poussent et qui seront ensuite déplacées pour garnir l’espace public.
En graines ou en plantons, les fleurs requièrent des attentions journalières. Le chef-jardinier nous explique qu’il faut suivre sans arrêt leur développement. D’abord pour s’assurer qu’elles sont correctement humidifiées, puis en les traitant juste ce qu’il faut si des maladies apparaissent.
D’ailleurs, Patrick Audemards préfère, si possible, utiliser des prédateurs naturels qui se feront un plaisir de se régaler des pucerons et autres insectes nuisibles.
Au printemps, c’est le branle-bas de combat. On prépare les plates-bandes et tous les autres endroits fleuris pour recevoir des plantes qui vont se développer tout l’été.
Mais l’hiver, l’équipe des jardiniers ne se croisent pas les bras. Il s’agit de tailler et d’élaguer arbres et arbustes, de ramasser les feuilles, de préparer les semences et parfois d’aider les cantonniers dans leurs tâches.


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Bien dans leurs bottes, bien dans leur Caserne

Pas loin de la mairie (et des espaces verts !) se dresse la Caserne des Pompiers, moderne et fonctionnelle. Après l’immersion dans les fleurs, les Seniors des 55 ans et + se sont retrouvés pour visiter les lieux sous la conduite du Capitaine Angel Mato. Ce dernier nous a brossé un panorama complet de l’activité des sapeurs, depuis leur formation jusqu’à leur engagement dans un sinistre.
Pour être pompier volontaire, il faut une bonne dose d’abnégation, car c’est une occupation qui se déroule aussi pendant leur temps libre, le soir et les samedis. Et la relève n’est pas toujours évidente.
Les pompiers avaient exposés leur matériel et nous l’on décrit avec beaucoup de précisions.
Les imposants camions tout rouge contiennent une quantité incroyable d’outillage: masques, tuyaux, lances, bonbonnes d’air comprimés, etc.
Ensuite nous avons parcouru l’intérieur de Caserne, en passant par un petit musée plein d’objets intéressants soigneusement conservés, par le carnotzet (construit entièrement par la troupe) et le vaste bureau du commandant et de son Etat major.
Après avoir arpenté cette caserne «propre en ordre», nous avons goûté avec plaisir le buffet offert par le Conseil administratif et préparé par Lorenzo Sofia.


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Visite au Muséum d’histoire naturelle

Une visite au muséum d’histoire naturelle, c’est l’immersion garantie dans la nature. Nous avons choisi de nous familiariser un peu plus avec le monde de l’ornithologie, c’est à dire les oiseaux. Sous la conduite d’une guide expérimentée, nous avons déambulé devant les vitrines des oiseaux de nos régions, toujours représentés dans leur milieu naturel.
Des habitants des bords de l’eau à ceux qui évoluent dans nos Alpes nous avons découvert une gent ailée ayant des moeurs bien différentes. Entre les sifflements, les couleurs, la grandeur et l’habitat, impossible de les confondre.
Après cette petite leçon d’histoire naturelle, nous avons pris un repas dans la cafétéria. Une manière très conviviale de clore notre visite..

Visite de la chocolaterie Stettler

En deux vagues successives, ce sont plus de vingt personnes qui ont eu le privilège d’assister à la confection d’une marmite de l’Escalade dans le laboratoire de la chocolaterie Stettler à la rue Blanc.Tous les participants ont d’abord été invités à revêtir une tenue « chirurgicale » (masque, chaussons et bonnet) afin de protéger le laboratoire de possibles souillures.
Un jeune collaborateur a ensuite effectué une démonstration chocolatière de saison : la fabrication d’une marmite. Deux demi-globes de laiton superposés sont immergés dans du chocolat fondant puis placés quelques minutes au frigo. L’opération est répétée une fois encore afin de solidifier les parois. Si tout va bien le démoulage laisse apparaître une marmite toute nue, sans couvercle, ni pieds, ni anses. Ces accessoires indispensables sont fabriqués séparément et « collés ». Le tour est joué ? pas tout-à-fait. L’écusson de Genève est ajouté ainsi que quelques dorures décoratives.
Pendant que l’artisan chocolatier confectionnait l’indispensable marmite de l’Escalade, il nous a fourni toute une série d’explications sur les autres produits de la maison, avec dégustation à l’appui. Pour finir, il nous a encore expliqué le circuit des fèves de cacao, depuis la cueillette jusqu’aux différentes créations gourmandes de la chocolaterie.

 


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