Par ici les belles plantes

serres thonexA Thônex, les massifs fleuris, les giratoires végétalisés et les bacs garnis se trouvent à foison sur toute la commune.
Toutes ces plantations demandent des soins continus et c’est une équipe de huit professionnels, épaulés par des apprentis, qui travaillent à rendre les espaces verts pimpants et colorés.
Menés par Patrick Audemars, les jardiniers nous ont fait visiter leurs cultures et leurs serres. Ce sont quelques 12.000 plantes qui poussent et qui seront ensuite déplacées pour garnir l’espace public.
En graines ou en plantons, les fleurs requièrent des attentions journalières. Le chef-jardinier nous explique qu’il faut suivre sans arrêt leur développement. D’abord pour s’assurer qu’elles sont correctement humidifiées, puis en les traitant juste ce qu’il faut si des A Thônex, les massifs fleuris, les giratoires végétalisés et les bacs garnis se trouvent à foison sur toute la commune.

Toutes ces plantations demandent des soins continus et c’est une équipe de huit professionnels, épaulés par des apprentis, qui travaillent à rendre les espaces verts pimpants et colorés.
Menés par Patrick Audemars, les jardiniers nous ont fait visiter leurs cultures et leurs serres. Ce sont quelques 12.000 plantes qui poussent et qui seront ensuite déplacées pour garnir l’espace public.
En graines ou en plantons, les fleurs requièrent des attentions journalières. Le chef-jardinier nous explique qu’il faut suivre sans arrêt leur développement. D’abord pour s’assurer qu’elles sont correctement humidifiées, puis en les traitant juste ce qu’il faut si des maladies apparaissent.
D’ailleurs, Patrick Audemards préfère, si possible, utiliser des prédateurs naturels qui se feront un plaisir de se régaler des pucerons et autres insectes nuisibles.
Au printemps, c’est le branle-bas de combat. On prépare les plates-bandes et tous les autres endroits fleuris pour recevoir des plantes qui vont se développer tout l’été.
Mais l’hiver, l’équipe des jardiniers ne se croisent pas les bras. Il s’agit de tailler et d’élaguer arbres et arbustes, de ramasser les feuilles, de préparer les semences et parfois d’aider les cantonniers dans leurs tâches.


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Bien dans leurs bottes, bien dans leur Caserne

Pas loin de la mairie (et des espaces verts !) se dresse la Caserne des Pompiers, moderne et fonctionnelle. Après l’immersion dans les fleurs, les Seniors des 55 ans et + se sont retrouvés pour visiter les lieux sous la conduite du Capitaine Angel Mato. Ce dernier nous a brossé un panorama complet de l’activité des sapeurs, depuis leur formation jusqu’à leur engagement dans un sinistre.
Pour être pompier volontaire, il faut une bonne dose d’abnégation, car c’est une occupation qui se déroule aussi pendant leur temps libre, le soir et les samedis. Et la relève n’est pas toujours évidente.
Les pompiers avaient exposés leur matériel et nous l’on décrit avec beaucoup de précisions.
Les imposants camions tout rouge contiennent une quantité incroyable d’outillage: masques, tuyaux, lances, bonbonnes d’air comprimés, etc.
Ensuite nous avons parcouru l’intérieur de Caserne, en passant par un petit musée plein d’objets intéressants soigneusement conservés, par le carnotzet (construit entièrement par la troupe) et le vaste bureau du commandant et de son Etat major.
Après avoir arpenté cette caserne «propre en ordre», nous avons goûté avec plaisir le buffet offert par le Conseil administratif et préparé par Lorenzo Sofia.


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Visite au Muséum d’histoire naturelle

Une visite au muséum d’histoire naturelle, c’est l’immersion garantie dans la nature. Nous avons choisi de nous familiariser un peu plus avec le monde de l’ornithologie, c’est à dire les oiseaux. Sous la conduite d’une guide expérimentée, nous avons déambulé devant les vitrines des oiseaux de nos régions, toujours représentés dans leur milieu naturel.
Des habitants des bords de l’eau à ceux qui évoluent dans nos Alpes nous avons découvert une gent ailée ayant des moeurs bien différentes. Entre les sifflements, les couleurs, la grandeur et l’habitat, impossible de les confondre.
Après cette petite leçon d’histoire naturelle, nous avons pris un repas dans la cafétéria. Une manière très conviviale de clore notre visite..

Visite de la chocolaterie Stettler

En deux vagues successives, ce sont plus de vingt personnes qui ont eu le privilège d’assister à la confection d’une marmite de l’Escalade dans le laboratoire de la chocolaterie Stettler à la rue Blanc.Tous les participants ont d’abord été invités à revêtir une tenue « chirurgicale » (masque, chaussons et bonnet) afin de protéger le laboratoire de possibles souillures.
Un jeune collaborateur a ensuite effectué une démonstration chocolatière de saison : la fabrication d’une marmite. Deux demi-globes de laiton superposés sont immergés dans du chocolat fondant puis placés quelques minutes au frigo. L’opération est répétée une fois encore afin de solidifier les parois. Si tout va bien le démoulage laisse apparaître une marmite toute nue, sans couvercle, ni pieds, ni anses. Ces accessoires indispensables sont fabriqués séparément et « collés ». Le tour est joué ? pas tout-à-fait. L’écusson de Genève est ajouté ainsi que quelques dorures décoratives.
Pendant que l’artisan chocolatier confectionnait l’indispensable marmite de l’Escalade, il nous a fourni toute une série d’explications sur les autres produits de la maison, avec dégustation à l’appui. Pour finir, il nous a encore expliqué le circuit des fèves de cacao, depuis la cueillette jusqu’aux différentes créations gourmandes de la chocolaterie.

 


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